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Revue: "Le Tarnier de Gor" de John Norman

  • Maître Ho-Sorl
  • May 9, 2016
  • 1 min read

qui m’était imposé était strict et épuisant et, à l’exception de la détente et des repas, faisait alterner les heures d’étude et les heures d’entraînement, la plupart du temps au maniement des armes, mais aussi à l’utilisation de divers appareils aussi banals pour les Goréens que le sont pour nous les machines à calculer et les balances. L’un des plus intéressants était le Traducteur, qui pouvait être réglé pour diverses langues. S’il existait une langue communément répandue sur Gor, à laquelle se rattachaient plusieurs dialectes ou patois, la sonorité de certaines langues goréennes ne ressemblait guère à ce que j’avais jamais entendu, du moins en tant que langues; elles ressemblaient plutôt à des cris d’oiseaux et aux grognements de certains animaux. C’étaient des sons qu’aucune gorge humaine n’était capable de produire, je le savais. Ces machines pouvaient être réglées pour divers langages, mais un terme de la traduction symétrique – au moins dans celles que j’ai vues – était toujours goréen. Si je réglais l’appareil pour, disons, le langage A et que je parle goréen là-dedans, il émettait, après une fraction de seconde, une succession de sons qui était la traduction de mes phrases goréennes en langage A. D’autre part, une nouvelle succession de sons A était reçue par la machine et retransmise en goréen. Mon père, et j’en fus ravi, avait adapté un de ces dispositifs de traduction à l’anglais, ce qui en faisait un instrument des plus précieux pour composer des phrases équivalentes.

Note: Langue goréenne: Il y a sur Gor une langue "de base" mais il existe aussi divers dialectes.

 
 
 

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