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Revue: "Le Tarnier de Gor" de John Norman

  • Maître Ho-Sorl
  • May 12, 2016
  • 1 min read

La jeune femme que j’avais vue au début était une esclave, et ce que j’avais pris pour un ornement autour de son cou était un signe de servitude. Il y en avait un autre, une marque au fer rouge cachée par ses vêtements. Cette marque indiquait sa condition d’esclave et le premier permettait de connaître son maître. On pouvait changer de collier, mais pas de marque. Je n’avais pas revu cette jeune femme depuis le premier jour. Je me demandais ce qu’elle était devenue, mais ne posai pas de questions à son sujet. Une des premières leçons qu’on m’avait enseignées sur Gor, c’est qu’il est déplacé de s’inquiéter d’un esclave. Je décidai d’attendre. J’appris fortuitement par un Scribe – pas Torm – que les esclaves n’étaient pas autorisés à enseigner quelque chose à un homme libre, car cela le mettrait en position de débiteur à leur égard et les esclaves n’ont droit à rien. Je résolus de faire de mon mieux, si c’était en mon pouvoir, pour abolir ce qui me paraissait une condition dégradante. J’en ai parlé un jour à mon père et il me répondit simplement qu’il y avait beaucoup de choses sur Gor pires que l’esclavage en général et, en particulier, le sort d’un Esclave de Tour.

Note: Esclaves goréennes: La marque de l'esclave permet de connaitre sa condition tandis que le collier permet de reconnaitre son Maître. Les esclaves peuvent changer de collier mais pas de marque.

 
 
 

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