Revue: "Le Tarnier de Gor" de John Norman
- Maître Ho-Sorl
- May 15, 2016
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Le tarn est guidé au moyen d’une courroie de gorge à laquelle sont fixées généralement six bandes de cuir, ou rênes, passées dans un anneau de métal sur l’avant de la selle. Les rênes sont de différentes couleurs, mais on les distingue d’après leur place sur l’anneau et non par leur couleur. Chaque rêne s’attache à un petit anneau sur la courroie de gorge et les anneaux sont disposés à intervalles réguliers. En conséquence, le mécanisme est simple. On tire sur la bande ou rêne qui est fixée à l’anneau se rapprochant le plus de la direction où l’on veut aller. Par exemple, pour atterrir ou perdre de l’altitude, on utilise la rêne quatre, qui exerce une pression sur l’anneau quatre placé sous le cou du tarn. Pour prendre un essor ou de l’altitude, on tire sur la rêne un qui exerce une pression sur l’anneau situé sur le dos du cou du tarn. Les anneaux de la courroie de gorge, correspondant à l’emplacement des rênes dans l’anneau central de la selle, sont numérotés dans le sens des aiguilles d’une montre. L’aiguillon est aussi utilisé parfois pour guider l’oiseau. On frappe celui-ci dans la direction opposée à celle où l’on veut aller et l’oiseau, reculant devant l’aiguillon, va dans cette direction. Cependant cette méthode n’offre guère de précision, car les réactions de l’oiseau sont purement instinctives et il ne s’éloigne pas toujours dans l’exacte tangente désirée. De plus, abuser de l’aiguillon a ses dangers. Il tend à devenir moins efficace si l’on s’en sert souvent, et le cavalier est alors à la merci du tarn.
Note: Accessoires et objets de la vie courante goréens: Faune de la Planète Gor: Technologie goréenne: Description des commandes pour diriger le tarn.

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